On December 6, 2021, the
Human Rights Defender of Armenia held a meeting with their French colleague,
Defender of Rights Ms. Claire Hédon.
They discussed the
obstacles that disrupt the protection of human rights in both countries.
In particular, the Human
Rights Defender mentioned the need for the immediate return of the Armenian
captives that are still unlawfully detained in Azerbaijan; The Defender
informed that they are being held for political reasons, violating
international law standards.
The Defender also made a separate
reference to the gross violations of the rights of Armenian servicemen and
civilians by the Azerbaijani armed forces, including the issue of their
responsibility for tortures and atrocities they committed.
The Human Rights Defender
emphasized that the Azerbaijani authorities are pursuing a policy of
Armenophobia, keeping active the hostility against Armenians worldwide; the
policy keeps the two peoples in tension, endangers the human rights system in
other countries. The result of that policy is that the tortures and atrocities
took place both during and after the war.
The negative consequences
of COVID-19 on people, the rights of women and children, and the involvement of
human rights institutions in international bodies, were also the subjects of the
discussions.
French :
Le 6 décembre 2021, le Défenseur des droits de l’homme d’Arménie s’est
entretenu avec le Défenseur des droits française, Mme. Claire Hédon.
Ensemble ils ont discuté des problèmes qui entravent la protection des
droits de l’homme dans leur pays respectif.
Plus précisément, le Défenseur des droits de l’homme a évoqué, la nécessité
du retour immédiat des prisonnier de guerre encore retenus illégalement captifs
en Azerbaïdjan. Il a expliqué qu’ils sont détenus pour des raisons politiques,
violant ainsi les standards des lois internationales.
Parallèlement, le Défenseur a relaté les flagrantes violations des droits
des militaires et citoyens arméniens causées par les forces armées
azerbaïdjanaises, y compris leur implication et responsabilité dans des actes
de torture et d’atrocité.
Le Défenseur des droits de l’homme a insisté sur le fait que les autorités
azerbaïdjanaises poursuivent une politique arménophobe, maintenant un climat de
haine envers les arménien à travers le monde entier ; cette politique
maintient également les deux peuples dans une tension qui met le système des
droits de l’homme du pays en danger. Le résultat de cette politique sont les
atrocités qui ont été commises durant, et après la guerre.
Les conséquences néfastes du COVID-19 sur la population, les droits des
femmes ainsi que des enfants, et l'implication des institutions des droits de
l'homme dans les instances internationales, ont également fait l'objet de
discussions.