The servicemen of the
State Border Service of Azerbaijan, who brutally tortured Armenian servicemen,
are the ones who will carry out border control on the Goris-Kapan road. This
particularly refers to the atrocities that occurred in October 2020 in Kovsakan.
The report of the Human
Rights Defender of Armenia which was published recently demonstrates that the servicemen
of the State Border Service of Azerbaijan tortured and unlawfully killed
people, and then tided and dragged their bodies by cars. They photographed and
filmed these acts, and then celebrated their “victory” with unmasked faces in
the Kovsakan School after Tatul Krpeyan (being certain that they will remain
unpunished).
Are the high-ranking
officials of Armenia who legitimize their presence and acts with their
statements instead of taking concrete measures to remove them from the
sovereign territory of Armenia aware that none of those servicemen of the State
Border Service of Azerbaini are still not held responsible for their acts?
In these conditions, how
will they guarantee the rights and security of the residents of Armenia using
the Goris-Kapan road?
The Human Rights Defender
wants to clearly not that pace is of high value for us, however it is
unacceptable to put the rights of people under the real threat of gross
violations, especially without any guarantees.
The facts related to the
incident of Kovsakan are details in the report of the Human Rights Defender.
The Defender suggests that it is studies in detail:
https://ombuds.am/images/files/5c7485fdc225adfd8a35d583830dcd17.pdf?fbclid=IwAR2x8tCpvGKLVCnwFwHVNMYder_ygjYnXfk7qDLU37sS0MgSlhOljYDv178
Les militaires des services des frontières de l’Azerbaïdjan, qui
ont brutalement torturés des militaires arméniens, sont ceux qui vont être en
charge du contrôle des frontières sur la route de Goris à Kapan. On fait ici
tout particulièrement référence aux atrocités d’Octobre 2020 à Kovsakan.
Le rapport du
Défenseur des droits de l’homme d’Arménie qui a récemment été publié démontre
que les militaires des services de frontières de l’Azerbaïdjan torturent et
tuent de manière totalement illégale des personnes, et les attachent à de
voiture afin de les traîner leur corps au sol. Ils ont photographié et filmé
ces actes et ensuite ont célébré leur « victoire » à visage
découvert dans l’école Tatul Krpeyan à Kovsakan (étant certains de ne subir
aucune conséquence de leurs actes)
Est-ce les officiers haut-gradés
arméniens qui légitimisent leur présence avec leurs déclarations au lieu de
prendre des mesures concrètes et de les chasser du territoire souverain arménien,
prenant en compte qu’aucun de ces militaires des services de frontières
azerbaidjanais n’a encore été tendu pour responsable de ses actes ?
Comment vont-ils
garantir les droits et la sécurité des habitants arméniens passant par la route
de Goris à Kapan dans ces conditions ?
Le Défenseur des
droits de l’homme veut spécifier que la paix est une question de la plus haute
importance, cependant il est inacceptable de mettre les droits des personnes
sous la menace de graves violations, en particulier sans la présence d’une garantie
de protection.
Les faits relatant les
incidents de Kovsakan sont détaillés dans le rapport du Défenseur des droits de
l’homme.
Le Défenseur des
droits de l’homme suggère qu’une étude profonde en soit faite :
https://ombuds.am/images/files/5c7485fdc225adfd8a35d583830dcd17.pdf?fbclid=IwAR2x8tCpvGKLVCnwFwHVNMYder_ygjYnXfk7qDLU37sS0MgSlhOljYDv178