The official, acting as the Secretary of the Security Council, who made a surprising public announcement, is obliged to clarify (at least)
1. How does he envisage the free and safe movement of people and goods on the Goris-Kapan road under the conditions of Azerbaijani border and customs control?
2. Is it aware that these functions imply restrictions on the rights of the people of Armenia by the Azerbaijani law enforcement agencies? Such as subjecting people to fines, initiating criminal cases, apprehending and arresting people, subjecting them to searches, etc.
3. How do Armenians (the residents of the villages in the vicinity of that sector of the road) or foreigners traveling on the Goris-Kapan road defend their rights (for example, to whom and to what procedures will they apply)? How does he envisage the application of the Azerbaijani legislation to them?
4. How will he ensure that the Azerbaijani border and customs bodies are held responsible and are punished if they violate the rights of people?
Note: In fact, the mere presence of Azerbaijani armed servicemen and law enforcement agencies and their acts are unlawful (have no legal basis)
It is not necessary not to legitimize their presence and acts with announcements, but to take necessary and urgent measure to remove them from the sovereign territory of the Republic of Armenia.
Le fonctionnaire au poste de Secrétaire du Conseil de sécurité, ayant fait une étonnante déclaration doit (pour le peu) éclaircir ses propos :
1. Comment envisage-t-il la libre et sécure circulation des personnes et des biens sur la route de Goris à Kapan soumis au service douanier azerbaidjanais ?
2. Est-il au fait que ses mesures impliquent des restrictions sur les droits des résidents arméniens par les forces de l’ordre azerbaïdjanaises ? Comme les soumettre à des amendes, engager des poursuites pénales à leur encontre, les appréhender et les arrêter, qu’ils fassent l’objet de perquisitions etc.
3. Comment les arméniens (résidents des villages à proximité de cette route) ou les étrangers passant par la route de Goris-Kapan peuvent-ils faire valoir leurs droits (par exemple, à qui peuvent-ils s’adresser et à quelles procédures sont-ils soumis) ? Comment envisage-t-il de les soumettre à la législation azerbaidjanaise ?
4. Comment va-il s’assurer que les institutions des contrôles douaniers seront tenues pour responsable et qu’elles seront punies en cas de violation des droits de ces personnes ?
NB : A vrai dire, la simple présence des militaires et forces de l’ordre azerbaïdjanaises et leurs agissements sont illégaux (il n’y a aucun fondement juridique).
Au lieu de légitimer leur présence et leurs actions à travers des déclarations, il est nécessaire et urgent de travailler à leur retrait du territoire souverain de la République d’Arménie.