The collective transfer of 21
villages of Kapan to Azerbaijan was approved by the Transcaucasian Central
Executive Committee by its decision of February 18, 1929 is an example of grave
territorial losses of Armenia.
The 21 villages of Kapan were
located in the basin of the Voghji and Basut rivers, near the Kapan copper smelting
plant, and occupied an area of 7,000 desyatinas.
Archival documents prove: One
of the main reasons for this decision was that the government of the Armenian
SSR ignored the rights of border residents, and discussed border issues only
from a military and political point of view while being in a weak position in
those two factors. First and foremost, this refers to the economic and property
rights of the persons; They had strong links to Kapan.
During that time period, the
issue of the security Kapan which was a priority was also ignored.
From a strategic and
communications point of view, Armenia suffered a serious loss at that time by
surrendering superior positions to Azerbaijan. As a result of that decision,
the border between the two countries was to be crossed through the suburbs of
Kapan.
PS Desyatina is an old unit
of land area - 2400 square meters or 1.09 hectares.
Mr. Arman Tatoyan
The Human Rights Defender of
Armenia
-----------------
Au cours des conflits
frontaliers dans les années 1930, le gouvernement de la RSS d'Arménie n'a pas
fondé ses discussions sur les violations des droits de l'homme
Le
transfert de 21 villages de la région de Kapan à l'Azerbaïdjan approuvé par le
Comité exécutif central transcaucasien par une décision du 18 février 1929 est
un exemple de graves pertes territoriales pour l'Arménie.
Ces 21 villages
de la région de Kapan étaient situés dans les bassins des rivières Voghji et
Basut, près de la fonderie de cuivre de Kapan et occupaient une superficie de 7
000 dessiatines.
Les
documents d'archives le prouvent : Le fait que le gouvernement de la RSS
d’Arménie a ignoré les droits des résidents frontaliers et n’a discuté des
questions frontalières que d’un point de vue militaire et politique alors
qu’elle était en position de faiblesse sur ces éléments, est l’une des
principales raisons ayant motivée cette décision. Les droits économiques et
droits de propriété ont été ignorés alors que les résident avaient des liens
étroits avec Kapan.
Au cours
de cette période, la question de la sécurité de la ville de Kapan, qui était
une priorité, a également été ignorée.
En
cédant des positions supérieures à l'Azerbaïdjan, l’Arménie a subi de graves
pertes d’un point de vue stratégique mais également vis-à-vis de ses voies de
communication.
À la
suite de cette décision, la frontière entre les deux pays devait être tracée
dans la banlieue de Kapan.
M.
Arman Tatoyan
Défenseur
des droits de l’homme de la République d’Arménie